Nous apprenons aujourd’hui que les négociations ont repris à Rio Tinto Alcan entre patronat et syndicats.
Heureusement, car la situation ne pouvait pas durer indéfiniment comme cela. En période de crise sévère il faut parfois savoir mettre son poing dans sa poche, d’autant plus que la demande de fils d’alu repart et que le manque de production de l’usine de Saint Jean de Maurienne est de 500 tonnes par semaine. Ce n’est pas le moment de refuser des commandes.
Le poids de l’usine en terme d’emplois, de retombées économiques et fiscales est tel que chaque nouvelle optimiste redonne des couleurs à notre territoire.
Malheureusement, pour d’autres entreprises de la vallée, il n’en va pas de même. L’usine SPIREL de Saint Rémy de Maurienne va-t-elle disparaître corps et bien avec ses 220 employés, sans que l’on ait vu venir la vague ? C’est une catastrophe qui s’annonce pour la plupart des ouvrières qui possèdent un savoir faire particulier mais qui ne pourront quitter la vallée pour d’autres postes, qu’on ne leur proposera d'ailleurs peut-être pas.
Je suis de tout cœur avec ces salariées qui prennent aujourd’hui un coup de massue sur la tête.
Heureusement, car la situation ne pouvait pas durer indéfiniment comme cela. En période de crise sévère il faut parfois savoir mettre son poing dans sa poche, d’autant plus que la demande de fils d’alu repart et que le manque de production de l’usine de Saint Jean de Maurienne est de 500 tonnes par semaine. Ce n’est pas le moment de refuser des commandes.
Le poids de l’usine en terme d’emplois, de retombées économiques et fiscales est tel que chaque nouvelle optimiste redonne des couleurs à notre territoire.
Malheureusement, pour d’autres entreprises de la vallée, il n’en va pas de même. L’usine SPIREL de Saint Rémy de Maurienne va-t-elle disparaître corps et bien avec ses 220 employés, sans que l’on ait vu venir la vague ? C’est une catastrophe qui s’annonce pour la plupart des ouvrières qui possèdent un savoir faire particulier mais qui ne pourront quitter la vallée pour d’autres postes, qu’on ne leur proposera d'ailleurs peut-être pas.
Je suis de tout cœur avec ces salariées qui prennent aujourd’hui un coup de massue sur la tête.
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