Vendredi 24 juillet, avec Jeanine GIPPA, Roger FAVIER et Marc TOURNABIEN, nous avons tenu une conférence de presse consacrée aux difficultés économiques qui affectent la vallée, et en particulier l’usine d’aluminium de Stain Jean de Maurienne. Cette conférence de presse a été bien couverte par la presse locale qui a relayé nos préoccupations.
Hasard du calendrier, deux élus de droite avaient tenu également une conférence quelques jours plus tôt en appuyant particulièrement leur propos sur les aspects touristiques de notre vallée.
Il ne faut pas voir dans notre démarche une volonté de répondre ou de nous mesurer à nos homologues. Nous avons simplement rappelé l’immense enjeu que représente la pérennité de l’usine RTA pour le canton de Saint-Jean de Maurienne, mais aussi pour l’ensemble de la vallée : 700 emplois directs, peut être quatre fois plus d’emplois indirects, une ressource fiscale inégalée en Maurienne, du pouvoir d’achat pour les salariés, etc.… Cela semble oublié par certains. Il y a pourtant urgence à réagir et à interpeler l’Etat ,qui garde une responsabilité intacte en la matière ,puisque premier actionnaire d’EDF. Et vous l’aurez compris, l’énergie reste le nerf de la guerre pour cette industrie.
L’économie mauriennaise est faite d’un savant équilibre entre industries, services, agriculture, BTP, grands chantiers et tourisme. Quand un de ces piliers n’est pas vaillant, les autres boitent.
Nous qui avons vécu 1993 dans le canton de Modane, l’année terrible, les centaines d’emplois publics supprimés, l’usine de Fourneaux (120 ouvriers) arrêtée, nous connaissons l’importance que revêt l’union des élus de toutes tendances sur les dossiers sensibles.
Aujourd’hui, et depuis 6 mois, nous travaillons entre élus de gauche pour faire des propositions d’avenir. Nous avons interpellé nos parlementaire : Thierry REPENTIN au Sénat, et Vincent PEILLON au Parlement européen, afin que ceux-ci portent nos attentes dans ces institutions. Mais nous ne sommes pas sectaires, et si la survie du site Rio Tinto Alcan passe par une alliance large, allons-y. C’est pourquoi nous demandons la création d’un « Comité de bassin d’emploi », sous la présidence d’un représentant de l’Etat et composé d’élus, de syndicats salariaux et patronaux, afin de suivre au plus près l’évolution économique de la vallée.
Et Marc dans tout cela ? Durant la conférence de presse, j’ai vraiment été impressionné par sa connaissance du sujet, sa compétence en la matière et sa maitrise… Il y a de l’injustice dans les élections, c’est certain. Marc TOURNABIEN aura été un très bon président du Syndicat de Pays de Maurienne.
Hasard du calendrier, deux élus de droite avaient tenu également une conférence quelques jours plus tôt en appuyant particulièrement leur propos sur les aspects touristiques de notre vallée.
Il ne faut pas voir dans notre démarche une volonté de répondre ou de nous mesurer à nos homologues. Nous avons simplement rappelé l’immense enjeu que représente la pérennité de l’usine RTA pour le canton de Saint-Jean de Maurienne, mais aussi pour l’ensemble de la vallée : 700 emplois directs, peut être quatre fois plus d’emplois indirects, une ressource fiscale inégalée en Maurienne, du pouvoir d’achat pour les salariés, etc.… Cela semble oublié par certains. Il y a pourtant urgence à réagir et à interpeler l’Etat ,qui garde une responsabilité intacte en la matière ,puisque premier actionnaire d’EDF. Et vous l’aurez compris, l’énergie reste le nerf de la guerre pour cette industrie.
L’économie mauriennaise est faite d’un savant équilibre entre industries, services, agriculture, BTP, grands chantiers et tourisme. Quand un de ces piliers n’est pas vaillant, les autres boitent.
Nous qui avons vécu 1993 dans le canton de Modane, l’année terrible, les centaines d’emplois publics supprimés, l’usine de Fourneaux (120 ouvriers) arrêtée, nous connaissons l’importance que revêt l’union des élus de toutes tendances sur les dossiers sensibles.
Aujourd’hui, et depuis 6 mois, nous travaillons entre élus de gauche pour faire des propositions d’avenir. Nous avons interpellé nos parlementaire : Thierry REPENTIN au Sénat, et Vincent PEILLON au Parlement européen, afin que ceux-ci portent nos attentes dans ces institutions. Mais nous ne sommes pas sectaires, et si la survie du site Rio Tinto Alcan passe par une alliance large, allons-y. C’est pourquoi nous demandons la création d’un « Comité de bassin d’emploi », sous la présidence d’un représentant de l’Etat et composé d’élus, de syndicats salariaux et patronaux, afin de suivre au plus près l’évolution économique de la vallée.
Et Marc dans tout cela ? Durant la conférence de presse, j’ai vraiment été impressionné par sa connaissance du sujet, sa compétence en la matière et sa maitrise… Il y a de l’injustice dans les élections, c’est certain. Marc TOURNABIEN aura été un très bon président du Syndicat de Pays de Maurienne.
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